Aider nous a replanter la planéte

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La réponse était: Du gaz naturel

La pollution et la flambée de son prix ont fait du pétrole un combustible indésirable dans tous les secteurs de l’économie, y compris dans celui du transport aérien. C’est dans ce cadre que la compagnie aérienne Qatar Airways a récemment réalisé un vol commercial en utilisant le tout nouveau GTL Jet Fuel. Le GTL est un carburant alternatif réalisé par la compagnie pétrolière Shell, il a la particularité d’être composé d’un mélange 50% de kérosène classique et de 50% de kérosène obtenue à partir de gaz naturel.

Le gaz n’est certes sans doute pas la meilleure alternative au pétrole, pour autant la combustion de ce nouveau carburant dégagerait moins de dioxyde de souffre que le kérosène classique. Cette innovation sera très certainement appréciée par les poumons des personnels des aéroports souvent malmenés.

D’ailleurs, cet essai n’est sans doute pas totalement désintéressé quant on sait que le Qatar dispose de gigantesques réserves sous-marines de gaz. De toute manière, la généralisation du GTL Jet Fuel n’est pas encore pour demain, puisqu’il est pour l’instant bien plus cher que du kérosène classique. Il constitue ainsi l’une des pistes explorées parmi de nombreuses autres pour dénicher le futur carburant des avions.

Sources / En savoir plus :


Actu-Environnement

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Greenquizz du 25.10.2009


Jeudi dernier, le groupe Thoshiba a lancé la commercialisation de la première batterie rechargeable avec…
La réponse était: Du méthanol

Depuis quelques années, les recherches en matière de batterie se sont fortement accélérées. D’importants progrès ont ainsi été réalisés, cela sussi bien en terme de durée de rechargement, de temps d’autonomie, de poids etc. Un grand nombre de secteurs industriels sont concernés par ces évolutions, de l’automobile à l’informatique.On commence ainsi à voir peu à peu apparaître en magasin le résultat de ces recherches.

C’est dans ce contexte que Toshiba commercialise depuis jeudi dernier au Japon la première batterie rechargeable au méthanol. Votre téléphone portable est déchargé ? Pas de problème 3 grouttes de méthanol dedans et le revoilà reparti pour un tour de piste ! Merveilleu non ? Oui mais comme toujours le systèpme a ses inconvénients, ce procédé reste ainsi réservé aux petits appareils électroniques, de plus la batterie est relativement encombrante et il faut compter environ 0,5€ pour recharger son téléphone portable de cette façon… D’autres noteront enfin que même si l’utilisation du méthanol est bien moins polluante que celle du pétrole, sa production est quant à elle souvent sujette à polémique comme la plupart des biocarburants.Cependant il ne fait nul doute que cette batterie au méthanol est bien moins néfaste à l’environnement qu’une pile classique jetable à base de mercure.

Il s’agit donc d’une piste parmi d’autres à explorer dans la tendance actuelle de diversification des sources énergétiques. Toshiba se montre ainsi comme précurseur en la matière, ces batteries ayant tout de même nécessités six années de recherche.
Sources / En savoir plus :
Ere Numérique
Le Monde Informatique

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1.3

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La réponse était : des carcasses de lapins
Le centre ville de Stockholm connaît apparemment une prolifération de lapins. Ces derniers, soit d’anciens animaux domestiques abandonnés, soit sauvages, envahissent peu à peu les espaces verts de la ville et posent un réel problème en détruisant la flore qui n’a pas le temps de se renouveler.
Afin de limiter cette propagation, la ville a décidé de faire d’une pierre deux coups : tuer les lapins afin d’éviter une surpopulation de leur part, et les utiliser afin de produire de l’énergie pour chauffer les foyers.
Cela se passe comme suit : les lapins sont abbatus puis congelés. Ils sont transportés jusqu’à l’usine d’incinération de la ville de Karlskoga, au centre de la Suède, puis les carcasses sont broyées et mélangées à des débris de bois et d’autres déchets organiques pour obtenir de la chaleur. Cette année, déjà 3′000 lapins ont été ainsi brûlés. Mais l’usine brûle également des carcasses de chats, de vaches, de chevaux, etc.
Cependant, tout le monde n’est pas convaincu par cette nouvelle production d’énergie. Ainsi, l’association “The Society for the Protection of Wild Rabbits” suédoise dénonce cette pratique et estiment que ceux qui la soutiennent ne regardent pas le vrai problème.
De plus, aucune information n’est disponible sur la toxicité éventuelle des fumées recrachées par ces centres d’incinération. Difficile donc de dire si il s’agit réellement d’un geste écologique ou non.
Sources / En savoir plus :
La brève sur le site goodplanet (16.10.2009)
L’article sur le site durable.com (19.10.2009)
Sur le site Techno-science, un article sur l’incinération en général

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Greenquizz du 28.10.2009


Le projet “Wind-it” a pour but d’installer des éoliennes sur…
La réponse était: Des pylônes électriques

Les campagnes françaises sont traversées par de nombreuses lignes électriques. Les pylônes et les poteaux électriques en tout genre ne se font donc pas rare au milieu des champs, il serait ainsi plus de 16 millions… Il s’agit la plupart du temps de structures bien exposées aux vents et souvent éloignées des habitations. Ces deux critères ne vous évoquent rien ? Mais si bien sûr ! Voilà tout ce qu’il faut pour installer une éolienne !

C’est de ce simple constat qu’est né le projet “Wind-it”, celui-ci est porté par la société Elioth et l’agence d’architecture “Encore heureux”. Ils souhaiteraient ainsi équiper tous ces poteaux d’éoliennes, pas bête hein ? Cette idée a de nombreux avantages, comme son faible coût d’installation puisque les pylônes sont déjà présents ou encore leur bonne dissémination sur le territoire pour profiter de tous les vents.

Pour autant il ne s’agit encore que d’une idée (dont le brevet a été déposé), mais les contacts seraient bien entamés avec la Turquie et les USA…L’installation dans l’hexagone n’est donc pas pour demain. Si c’était tout de même le cas, il faudrait équiper environ 1/3 des pylônes pour produire autant d’électricité que 2 centrales nucléaires, soit environ 5 millions de poteaux concernés… Mais nul doute qu’il s’agit encore là d’une piste intéressante à explorer en ce qui concerne nos sources d’énergies de demain.

Sources / En savoir plus :

Le site officiel

Marc Chartier

Environnemental.info

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Greenquizz du 29.10.2009


Les piles “NoPoPo” sont des piles qui sont rechargeables avec…
La réponse était : de l’eau
NoPoPo, cela signifie “No Pollution Power”, et c’est le nom donné à cette nouvelle génération de piles rechargeable… à l’eau !
Il y a, à l’intérieur de la pile, une barre de carbone entourée d’une poudre à base de magnésium. Cette poudre est constituée d’éléments qui lui permettent de se consommer en émettant de l’électricité. L’avantage se trouve déjà dans le fait que sa vie sera plus longue qu’une pile traditionnelle, à base de lithium.
Pour que la recharge se passe bien, il faut de l’eau qui engendrera une réaction chimique qui rechargera la batterie. Mais cela peut aussi fonctionner avec d’autres liquides, comme par exemple du jus d’orange ou de la vodka !
Dès la première utilisation, il faut ajouter de l’eau à l’aide d’une pipette, puis attendre quelques secondes. Après cela, la pile sera prête pour une utilisation de 9 heures. Après ces 9 heures, on la recharge encore, toujours de la même manière et elle tiendra 5 heures puis 3 heures. A la dernière recharge, elle tiendra alors une heure et ne sera plus utilisable.
Si l’on fait le calcul, cette pile aune durée de vie moyenne de 18 heures, ce qui représente 30 % de plus qu’une pile traditionnelle. De plus, au contraire des piles standards, ces piles NoPoPo ont une durée de conservation allant de 10 à 20 ans, ce qui veux dire que, tant qu’elle est gardé à l’abri de l’humidité, et que nous n’avons pas provoqué la réaction chimique qui lui permettra de produire de l’électricité, on peut la conserver, emballée, jusqu’à ce que le besoin se fasse sentir.
La pile NoPoPo est facilement recyclable du fait qu’elle ne contient ni lithium ni mercure. On peut donc s’en débarrasser avec les autres produits en aluminium comme les canettes de soda.
Cependant, cette batterie n’est pas destinée aux produits qui nécessitent beaucoup d’énergie. Elle convient uniquement aux produits de basse consommation.


Sources / En savoir plus :
L’article sur le site Ecoattitude
Une vidéo montrant le fonctionnement de la pile

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Greenquizz du 30.10.2009


Un aérogénérateur est un générateur qui fabrique du courant électrique en utilisant…

La réponse était : le vent


Le vent - énergie renouvelable s’il en est - permet aux aérogénérateurs de produire de l’électricité grâce à l’énergie cinétique. Trois facteurs déterminent la puissance des aérogénérateurs : le profil des palles qui représente la surface maximale de frottement de l’air, la vitesse du vent et le lieu où il se trouve (plaine, montagne,…). Il y a deux sortes d’aérogénérateurs. Ceux de moyenne puissance sont inférieurs à 5kW et servent aux particuliers. Et les aérogénérateurs plus importants - de 12 kW - qui sont utilisés en usage collectif.
Sources :
Actu-Environnement
Aerogenerateur.com
Solener.com

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Greenquizz du 31.10.2009


En Alsace, sous l’impulsion de l’association “Objectif Climat” une trentaine de restaurants et des cantines scolaires vont bientôt proposer des menus…
La réponse était: Avec un faible bilan CO2
Dans le cadre du Grenelle de l’environnement, la France s’est engagée à diviser par quatre ses émissions de CO2 d’ici à 2050.
On cherche à réduire les émissions de CO2 dans tous les domaines, l’automobile, l’aviation, l’industrie et même l’alimentaire. C’est dans le cadre de ce dernier, que l’association alsacienne objectif climat a décidé d’agir en s’attaquant aux bilans carbones des assiettes dans la restauration. Il faut dire que l’agneau de Nouvelle Zélande, le bœuf du Chili et d’autres mets appréciés par nos palais viennent parfois de l’autre bout du monde entrainant ainsi d’importantes émissions de CO2.
A force de sensibilisation des restaurateurs, l’association objectif climat est parvenu à convaincre une trentaine d’entre eux de proposer des menus privilégiants davantage les aliments locaux (comme le célèbre chou alsacien !). Quatre cantines scolaires vont aussi s’associer à cette démarche. Celle-ci est tout autant écologique que solidaire envers les producteurs locaux.
Sources / En savoir plus :
Le site officiel de Objectif Climat
Reuters

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Reponse du jours : D'un velo

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Greenquizz du 02.11.2009



Steven Vromman se définit comme un “Low Impact Man” depuis qu’il a entamé il y a plus d’un an une démarche qui vise à…

La réponse exacte était : réduire son empreinte écologique

Steven Vrooman a interrompu sa carrière de Directeur chez Ecolife pour réduire son empreinte écologique… Après réflexion, c’est logique !
Un Belge a une empreinte écologique de 5,6 hectares. Depuis Mai 2008, Steven Vromman s’est mis en tête de devenir Low Impact Man (l’homme à la faible empreinte écologique). Ses objectifs sont très clairs et bien définis : il veut vivre avec une empreinte de seulement 1,6 hectare (1,8 hectare étant considéré comme le seuil d’une empreinte écologique durable).

Pour se faire, il s’est dessiné une marche à suivre fort simple mais difficile à suivre en Europe, où la surconsommation est malheureusement devenue la spécialité. Le Low Impact Man a donc pour but de consommer moins et toujours d’occasion (pour produire moins de déchets résiduels), consommer moins de gaz, moins d’eau (20 litres maximum), favoriser les menus sans viande, de saison et bio, ne plus utiliser de voiture, maximiser son utilisation d’énergies renouvelables tout en restant sobre (1kWh par jour)…

Et vous, bientôt prêt à rejoindre ce défi altruiste ?
Sources :
terra eco
WWF Belgique

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Greenquizz du 03.11.2009


Qu’est-ce qu’une culture hydroponique ?
La réponse était : Une culture hors sol
L’hydroponie, c’est un ensemble de façon de cultiver hors sol. D’ailleurs elle est connue depuis longtemps comme le témoigne la légende des jardins suspendus de Babylone ! Puis, la majeure partie des légumes de serre des pays développés sont produits au moyen d’un système hydroponique.
La technique consiste à donner à nourrir les racines des plants avec une solution nutritive qui apportera tout ce dont les plants ont besoin. On aura préalablement déposé ces plants dans un substrat tel que du gravier, de la laine minérale, de la tourbe ou encore des fibres de cocos.
C’est une technique plutôt facile, accessible à tout le monde et qui ne nécessite pas énormément de matériel. De plus, cette technique permet d’optimiser au mieux le potentiel de la plante et son évolution.
Il sera nécessaire de contrôler l’acidité de la solution, pour toutes les étapes de la vie de la plante, mais également la conductivité électrique. Mais cette technique est, semble-t-il, vraiment très efficace. Les plantes poussent plus vite, les fruits sont plus gros. Il est aussi possible de concentrer le principe actif d’une plante médicinale pour obtenir un résultat plus puissant qu’en culture traditionnelle.
Et les avantages ne s’arrêtent pas là : on peut cultiver beaucoup plus par rapport à la place, on économise de l’eau et de l’électricité, on peut gagner plus d’une semaine avant la récolte par rapport à une culture standard !
Par contre, le bilan n’est pas tout vert : une fois les substrats arrosés, il est impossible de les réutiliser. L’endroit où se trouve la culture voit aussi son taux d’humidité augmenter fortement et l’utilisation prolongée de substrat fait s’accumuler les déchets relativement vite.
Sources / En savoir plus :
Quelques informations sur le site de l’Agriculture et agroalimentaire du Canada
Définition de la culture hydroponique sur le site “Comment ça pousse ”
L’article de Wikipedia sur l’hydroponie

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Greenquizz du 04.11.2009


Le 1er novembre dernier, la neige est tombée sur la ville de Pékin suite à…
La réponse était : Une intervention humaine
Voilà 10 ans, selon le “Beijing Evening News”, que la neige n’avait été aussi précoce à Pékin. Mais ce n’est pas naturellement qu’elle est tombée.
En vérité, il s’agit de l’oeuvre de plusieurs scientifiques. Les météorologues ayant annoncé l’approche d’une vague de froid provenant de Sibérie, les scientifiques en ont profité pour catapulter plus de 400 bâtonnets d’iodure d’argent à partir de 28 sites de lancement basés à Pékin. Ces bâtonnets ont la particularité de percer les nuages déclenchant ainsi des précipitations. C’est ainsi que Pékin s’est recouvert d’un blanc manteau.
Il ne s’agissait pas ici de montrer au grand jour une nouvelle technologie, car les scientifiques chinois n’en sont pas à leur coup d’essai !
En réalité, cette neige a été provoqué afin de lutter contre la sécheresse qui persiste sur le nord du pays depuis des années. Au début de l’année par exemple, la Chine avait connu une période 110 jours sans précipitations. La plus longue sécheresse enregistrée depuis 38 ans.
Cette technique est donc bien connue là-bas. Mais, outre le fait de combattre la sécheresse, elle peut être utilisée pour éviter la grêle ou disperser le brouillard. Mais il reste difficile de savoir quel impact cela peut avoir l’iodure d’argent sur l’environnement ou sur la santé des habitants terrestre.
Ce qui est sûr, c’est que la Chine n’est pas le seul pays à utiliser des stratagèmes afin de modifier le temps. Ainsi, en cherchant un peu sur la toile, on trouve des articles parlant de ce genre d’expérience au Mali, au Maroc, en Espagne et même en France.
Sources / En savoir plus :
L’article sur le site de Europe 1
Un article sur l’Encyclopédie Canadienne explicant la production artificielle de puie
une explication sur l’ensemencement des nuages sur Wikipedia

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Greenquizz du 05.11.2009


LEn Camargue, combien d’hectares le producteur de sel “Les Salins du Midi” va prochainement vendre à l’Etat français afin qu’ils deviennent des espaces protégés ?
La réponse était : 4500
Un accord a été récemment conclu avec le producteur de sel Salins du Midi (groupe Salins), prévoyant le rachat dans les mois à venir de terrains humides situés près de Salin-de-Giraud (Bouches-du-Rhône), a expliqué à l’AFP le délégué régional du Conservatoire du littoral Christian Desplats.
Les terrains que compte acquérir le Conservatoire du littoral correspondent aux superficies soustraites de l’exploitation lors de la restructuration du site en 2007, qui avait conduit à réduire quasiment de moitié l’activité salinière.
Les terrains en questions abritent un site de reproduction de flamants roses mais également de nombreuses espèces d’oiseaux, de reptiles, de mammifères et d’amphibiens. Ils sont classés en Zone naturelle d’intérêt écologique faunistique et floristique (ZNIEFF) et classés au titre de la convention Ramsar sur les zones humides d’importance internationale, signée en 1971 et à laquelle la France a adhéré en 1986.
“Cette acquisition s’inscrit pleinement dans la stratégie d’acquisition de zones humides mise en place suite au Grenelle Environnement, qui prévoit l’acquisition de 20.000 hectares de zones humides d’ici 2015″, selon le ministère.
Elle entre également dans la stratégie du Conservatoire du littoral de contribuer à la protection du tiers du littoral français que le Grenelle de la Mer s’est engagé à réaliser dès 2030.
En octobre 2008, les Salins du Midi avaient cédé au Conservatoire du littoral plus de 2.300 hectares près de Salin-de-Giraud, après lui avoir déjà vendu fin août 2007, 1.200 ha d’anciennes salines dans le Gard, l’Hérault et l’Aude.
Sources / En savoir plus :
Un article sur le site AGEFI (Agence économique et financière de Genève)

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17291

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Greenquizz du 06.11.2009


Selon la liste des espèces menacées récemment publiée par l’Union mondiale pour la nature, combien d’espèces animales et végétales sont actuellement menacées d’extinction ?
La réponse était: 17 291

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Greenquizz du 07.11.2009



Dans quel Etat vient d’être récemment construite la plus grande centrale solaire des Etats-Unis ?
La bonne réponse était : La Floride
C’est naturellement dans une région très ensoleillée que la plus grande centrale solaire des Etats-Unis a été construite.
La centrale Desoto Next Generation Solar Energy Center (DNGSEC) est constituée de 90.000 panneaux photovoltaïques répartis sur 73 hectares de terrain. Elle a été inaugurée mardi dans le comté de DeSoto, en Floride.
Une fois pleinement opérationnels à partir de 2010, les panneaux photovoltaïques de la DNGSEC qui convertissent directement la lumière en électricité pourront générer 75 mégawatts d’énergie solaire.
Autre bonne nouvelle : à l’occasion de l’inauguration de la centrale, Barack Obama a annoncé l’octroi de 3,4 milliards de dollars à une centaine d’entreprises spécialisées dans le développement d’une énergie propre.
Sources / En savoir plus :
L’article d’Enerzine (non daté)
L’article du site Monde Actu (daté du 29.10.2009)

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des algues vertes

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Greenquizz du 09.11.2009


Quelle agence française a récemment proposé un protocole d’étiquetage des matériaux de construction et de décoration afin d’informer le consommateur sur les polluants qu’ils contiennent ?
La réponse était: L’AFSSA
Source: AFSSA

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Greenquizz du 10.11.2009


La directive européenne “Seveso” impose la classification des sites industriels à risque, elle doit son nom à une catastrophe s’étant produite en 1976 en…
La réponse était : Italie
Le 10 juillet 1976, un nuage de dioxine s’échappe d’un réacteur de l’usine chimique Icmesa, située dans la commune de Meda, près de Seveso, et se répand sur la plaine lombarde, en Italie.
Cet accident est dû à la surchauffe d’un réateur d’un fabricant e trichlorophénol qui a libéré un nuage toxique contenant plusieurs produits mal identifiés sur le moment. C’est seulement au bout de quatre jours que la dioxine est identifiée. A ce moment, entre 1 et 5 kg ont été dispersés.
Peu après l’accident, les feuilles des arbres jaunissent et les animaux familiers meurent par dizaines. Il n’en faut pas plus pour faire basculer Seveso de « catastrophe environnementale » à « la plus grande catastrophe depuis Hiroshima ».
L’émotion suscitée par cet incident a incité les Etats européens à se doter d’une politique commune en matière de prévention des risques industriels majeurs. Le 24 juin 1982 la directive dite SEVESO demande aux Etats et aux entreprises d’identifier les risques associés à certaines activités industrielles dangereuses et de prendre les mesures nécessaires pour y faire face.
Cette directive a été modifiée à diverses reprises et son champ a été progressivement étendu, notamment à la suite de l’accident de Bâle en 1986.
Le cadre de cette action est dorénavant la directive 96/82/CE concernant la maîtrise des dangers liés aux accidents majeurs impliquant des substances dangereuses appelée directive SEVESO II qui remplace la directive SEVESO à partir du 3 février 1999.
Certains aspects, tel que la notification des établissements, sont déjà intégralement prévus en droit français. D’autres, comme l’information et la participation du public, se voient aujourd’hui renforcés. Chacun comprend bien qu’il ne peut y avoir de progrès dans la maîtrise des risques sans information transparente des employés et des riverains des installations.
Sources / En savoir plus :
La directive Seveso expliqué sur le site du gouvernement français
L’article wikipedia sur la catastrophe de Seveso ainsi que sur la dioxine

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Greenquizz du 11.11.2009


En Bretagne, l’opération EcoWatt vise à réguler la consommation…
La réponse était : d’électricité.
C’est l’hiver dernier que la première opération EcoWatt a eu lieu en Bretagne mais aussi, dans une moindre mesure dans la Loire.
Le principe est très simple : les volontaires, qui se sont préalablement inscrits sur le site internet, reçoivent un message ( SMS, mail ou flux RSS) les alertant lorsque leur consommation d’électricité devient excessive dans leur foyer. L’hiver dernier, c’est environ 9′000 personnes qui s’étaient inscrites.
C’est ensuite à leur tour d’agir et de réduire cette consommation, particulièrement aux “heures de pointe”, entre 17 et 20 heures.
Cette opération n’est pas a proprement parlé une initiative écologique, mais bien économique. Elle a pour but principal d’éviter une rupture d’approvisionnement. En effet, lorsqu’il fait froid, le réseau éléctrique de l’ouest de la France est mis à rude épreuve et peut facilement atteindre sa limite.
Les alertes sont lancées durant les grandes vagues de froids. L’hiver dernier, 9 alertes ont été lancées entre décembre et début février. Ces jours-là, les écarts de températures ont atteint jusqu’à – 5 °C voire – 9 °C par rapport aux normales saisonnières.
Le 7 janvier a été le jour le plus froid de l’hiver avec une pointe de consommation à 17 150 MW, supérieure de 1 000 MW au dernier pic remontant à décembre 2007, soit l’équivalent d’une agglomération d’1 million d’habitants. Malgré la mobilisation de ce premier hiver, la démarche doit encore prendre de l’ampleur pour que des effets se fassent sentir sur la consommation électrique en période de pointe.
Le Grenelle de l’environnement donne une nouvelle impulsion en faveur des économies d’énergies, notamment pour une meilleure utilisation de la chaleur ainsi qu’un soutien à la recherche et au développement d’énergies renouvelables.
Sources / En savoir plus :
Le site officiel Ouest EcoWatt
Le bilan de l’opération EcoWatt de l’hiver 2008-2009 sur le site Bretagne environnement
“Agir pour modéré” ou les initiatives des partenaires de l’opération EcoWatt sur le site Ouest EcoWatt

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Greenquizz du 12.11.2009


Une “SeedBomb” est une bombe destinée à lutter contre…
La réponse était : la déforestation
Une SeedBomb, littéralement une bombe à graines est bel et bien une bombe, mais dépourvue d’explosif.
L’idée vient d’un designer industriel coréen, Hwang Jin Wook. Il a imaginé un concept visant à lâcher des bombes en pleine nature, plus spécialement dans des lieux souffrant de désertification, afinde lutter contre la déforestation.
En réalité, il s’agit de capsules en amidon biodégradables contenant des graines et un sol artificiel qui fournit l’alimentation et l’humidité nécessaires à la croissance de la plante. Les graines peuvent donc commencer de germer et, la capsule se dégradant, les plants peuvent continuer leur croissance dans le sol.
La SeedBomb ne laisse aucun déchet derrière elle et ne nécessite, mis à part le lancement, aucune intervention humaine.
Mais ceci ne reste pour l’instant qu’un concept et aucun largage de bombe n’est prévu pour l’instant.

Sources / En savoir plus :
Un article sur le site Consoglobe
Un article (en anglais) sur les SeedBomb sur le site The Environnemental blog

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Greenquizz du 13.11.2009


La bonne réponse était 53%
En 1997, l’Espagne ne produisait que 427 mégawatts (MW) grâce à son parc éolien. Dans une dynamique exponentielle, l’Espagne a produit 16 740 MW pour l’année 2008 !
Dimanche dernier, pendant plusieurs heures, un vent fort a soufflé sur la péninsule ibérique, ce qui a fait tourné les éoliennes situées dans la région.
A l’heure du Sommet de Copenhague - dont deux tiers de la population mondiale attend des réponses concrètes en termes d’environnement - l’Espagne a pu prouver que la force du vent pouvait produire plus de la moitié de son électricité soit 11 500 MW, la production de 11 réacteurs nucléaires !
Le gouvernement espagnol préfère d’ailleurs suivre la voix du renouvelable plutôt que de continuer avec le nucléaire (même si l’exploitation des centrales est prévue jusqu’à leur fin de vie)…
Sources :

Vedura

The Wind Power

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